Pour Sabry Pascal Dabou, l’utilisation de biocarburant est l’avenir du secteur

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Communiqué

Ces dernières années, plusieurs annonces ont été faites concernant l’utilisation de biocarburant dans l’aviation. Il faut savoir que ce secteur représente 2% des émissions de CO2. Cependant, si on prend en compte sa contribution au réchauffement climatique, le secteur de l’aviation représente quand même 3.5% à cause des autres gaz qu’il émet. Et avec le nombre de vols qui augmente de 5% chaque année, le problème risque de prendre plus d’ampleur. Et la décarbonations des moteurs va aussi être difficile. Selon les professionnels, le recours au biocarburant pourrait être la solution au problème. Pour en savoir davantage, on vous invite à lire cet article.

Le biocarburant, qu’est-ce que c’est ?

Le biocarburant est un carburant de substitution. Généralement, il est issu de matières organiques végétales tels que le tournesol, des résidus forestiers, etc. Contrairement au carburant, le biocarburant n’est pas composé de matières fossiles, mais de matières biologiques. Et cela intéresse beaucoup les chercheurs dans le secteur de l’aviation. Préoccupés par les enjeux environnementaux, ces derniers cherchent en effet une alternative au kérosène. Pour cela, il y a le biocarburant. Plusieurs professionnels de l’aviation comme Sabry Pascal Dabou pensent que c’est l’avenir du secteur. En effet, la production du biocarburant ne nécessite pas l’utilisation d’engins lourds, d’extraction au fin fond de l’océan, etc. On se sert de matières premières naturelles renouvelables. En guise d’exemple, il y a les huiles végétales, les écorces de bois, les déchets provenant des industries alimentaires / des industries agricoles… Aujourd’hui, de plus en plus d’entreprises pétrolières se penchent sur le sujet. En effet, le biocarburant n’endommage pas la biodiversité et réduit les émissions de gaz carboniques. Maintenant, la question est de savoir si le biocarburant est moins polluant que le kérosène. Eh bien, ce sont deux sources d’énergie totalement différentes. Le biocarburant produit moins de dioxyde d’azote et de gaz toxique. En ce moment, les professionnels qui évoluent dans le secteur de l’aviation, notamment ceux qui louent les jets privés comme Sabry Pascal Dabou ne cesse de promouvoir le biocarburant. D’ailleurs, des grandes compagnies aériennes comme KLM ont déjà utilisé le biocarburant à la place du kérosène depuis 2016.

Le biocarburant : le carburant vert

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Depuis quelques années, le secteur de l’aviation s’est engagé à réduire les émissions de carbone. De leur côté, les gouvernements cherchent aussi à établir des mesures politiques. L’objectif étant d’accélérer la croissance de la SAF, le carburant alternatif qui fait rêver les grandes entreprises évoluant dans le domaine de l’aviation. En effet, ce biocarburant est la meilleure solution pour faire voler les jets (de l’application Waren de Pascal Sabry Dabou par exemple) et avions de ligne sans qu’ils n’aient à émettre de CO2. Comme cité ci-haut, le SAF ou sustainable alternative fuel est produit à partir de déchets végétaux, d’huiles végétales, que des matières naturelles végétales renouvelables. Sa production nécessite encore plus d’engagements de la part des acteurs du secteur de l’aviation. En ce moment, quelques avions du géant Airbus volent avec du biocarburant. Les expérimentations ont commencé en 2016 et on peut dire que les résultats sont prometteurs. La preuve, l’Emirates a commandé deux nouveaux Airbus fonctionnant avec du biocarburant en 2020. Aujourd’hui, la protection de l’environnement fait partie des priorités de tous les gouvernements du monde entier. Pour cela, ils doivent obliger les entreprises qui évoluent dans le secteur de l’aviation à se tourner vers le biocarburant. Selon Sabry Pascal Dabou, l’avenir de ce secteur en dépend.

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Ambre

Je m’appelle Ambre Morel, j’ai 52 ans, et depuis bientôt vingt ans, je fais un métier que beaucoup rêvent de faire… sans toujours en saisir l’intensité : j’organise des mariages. Mais attention, pas ceux qu’on photocopie sur Pinterest. Moi, je crée des instants de vérité. Des parenthèses où tout – l’émotion, les gestes, les lumières, les matières – est pensé pour que deux personnes puissent dire « oui » sans artifice, mais avec grâce. Je vis en Provence, entre vignes et mistral, et j’ai fondé Atelier Morel pour une raison simple : je crois que le mariage est l’un des derniers rituels où l’on peut encore inventer du beau avec du sens. Pas besoin de strass, pas besoin de drones ou de licornes en plastique : ce qui compte, c’est l’accord entre l’âme du couple et l’ambiance qu’on imagine pour eux. Mais ce qui me distingue peut-être le plus dans ce milieu, c’est ma passion très personnelle pour la botanique sauvage. Je passe une partie de mon temps libre à répertorier, dessiner, et cultiver les plantes anciennes, oubliées ou mal-aimées. Et cela infuse tout ce que je fais : mes mariages sentent la terre, l’ombre des figuiers, le chèvrefeuille en fin d’été. Chaque décor, chaque bouquet que je propose est pensé comme un écosystème émotionnel, pas juste comme une photo Instagram. Ce blog, je l’ai créé pour partager plus que des astuces déco. J’y parle d’amour, de beauté, de symbolique, de rituels, mais aussi de ce que signifie célébrer aujourd’hui. Vous y trouverez : 📌 Ce que je propose ici : – Des récits de mariages sur mesure, racontés de l’intérieur – Des articles sur la symbolique des fleurs et des saisons – Des conseils pratiques pour organiser un mariage élégant, écologique et sensible – Des portraits de couples, de lieux, de créateurs – Et parfois… un détour par le monde végétal, la poésie d’un feuillage, l’histoire d’un parfum Je crois que l’organisation d’un mariage n’est pas un événement : c’est un artisanat du lien, du souvenir, de la promesse. Bienvenue dans mon univers. Prenez une infusion, ouvrez une fenêtre… et rêvons ensemble un peu mieux.